À propos de moi
Je suis L.B.RASS, autrice de thrillers psychologiques et de romans noirs, toujours ancrés dans la réalité, souvent inspirés de faits divers. Mon écriture explore les non-dits, les blessures invisibles, les obsessions qui rongent.
Mon premier roman, La forêt de Vallombre, ouvre les portes d’un huis clos à ciel ouvert, au cœur d’une nature inquiétante. Il pose une question centrale : jusqu’où peut-on aller pour protéger un secret ?
Depuis, je continue de creuser ces terres troubles où le réel flirte avec le cauchemar, où les apparences masquent des abîmes.
Parcours & inspirations
Depuis toujours, je suis fascinée par la complexité humaine, les zones d’ombre qui habitent chacun de nous. Ce sont les histoires de vie, celles que l’on n’ose pas raconter à voix haute, qui nourrissent mon écriture.
J’ai passé des années à écouter, observer, tenter de comprendre les mécanismes du silence, du mensonge et de la culpabilité. Le monde qui m’entoure, les rencontres, les récits de ceux qui traversent des épreuves m’ont profondément marquée.
Mes romans naissent de cette volonté d’explorer la psychologie des personnages, leurs blessures intimes, souvent cachées derrière des façades impeccables. Je cherche à mettre en lumière ce que la société préfère ignorer : les tensions familiales, les violences ordinaires, les secrets lourds à porter.
Chaque histoire est un voyage au cœur des émotions humaines, entre ombre et lumière, vérité et mensonge, réalité et fantasme.
Mon univers littéraire
« Ce n’est pas l’horreur que je veux écrire. C’est ce qu’elle laisse derrière elle. »
Mon écriture est portée par une atmosphère dense, presque palpable, où le lecteur se retrouve pris dans un étau psychologique. Je privilégie les détails sensoriels, les ambiances oppressantes, les silences qui parlent autant que les mots.
Je n’aime pas le spectaculaire ni les scènes grandiloquentes. Ce qui m’intéresse, c’est l’intime, l’insidieux, ce qui s’installe doucement mais sûrement dans les vies, détruisant parfois tout sur son passage.
Mes récits sont aussi une invitation à réfléchir sur la nature humaine, ses contradictions, ses failles. Je m’attache à décrire la complexité des liens familiaux, les zones grises du bien et du mal, et à montrer que derrière chaque acte, même le plus terrible, il y a une histoire à entendre.
Je veux que le lecteur ressente cette tension sourde, ce malaise léger qui ne le lâche plus une fois la dernière page tournée.